FAQ - Voie de covoiturage sur l’A1
Retrouvez ici toutes les réponses à vos questions sur la voie réservée au covoiturage sur l’A1.
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Le covoiturage, cela consiste à être au moins 2 dans un véhicule, quels que soient les liens entre le conducteur et les passagers : ils peuvent être de la même famille, collègues de travail, amis ou s’être organisés avec une application de covoiturage.
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La voie de covoiturage est une voie réservée aux personnes qui sont au moins 2 dans leur voiture. Elle est activée lorsque la vitesse réglementaire descend à 70 km/h. Un losange blanc apparaît sur le panneau de signalisation de la voie de gauche lorsqu’elle est active.
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Le losange blanc indique que la voie réservée est activée. Il n’est affiché sur les panneaux de signalisation que lorsque la vitesse réglementaire descend à 70 km/h.
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- les véhicules avec 2 occupants et plus,
- les véhicules Crit’Air 0 et particulièrement les véhicules 100% électriques,
- les taxis,
- les transports collectifs (bus, autocar)
- les véhicules prioritaires.
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Aucune inscription n’est requise. La voie est empruntable par tous les usagers remplissant les modalités nécessaires (2 occupants et plus, véhicules Crit’Air 0 100% électrique, taxis, transports collectifs (bus, autocar), véhicules prioritaires.)
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Lorsque la voie de covoiturage est active, la vitesse de circulation sur les trois voies est limitée à 70 km/h.
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Un dispositif de contrôle par caméra infrarouge, avec lecture de la plaque d’immatriculation, permet de compter le nombre d’occupants dans les véhicules même à l’arrière. Si les usagers ne sont pas autorisés à emprunter la voie, ils seront incités à changer de voie par un message avec leur numéro de plaque d’immatriculation affiché sur le panneau lumineux au-dessus de la voie.
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Oui. C’est un système infrarouge qui contrôle les véhicules empruntant la voie réservée. Vous pouvez aussi être verbalisé en cas de contrôle par les forces de l’ordre. Les conducteurs qui ne respectent pas les règles de la voie réservée s’exposent à une amende de 135 euros.
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Non, seuls les véhicules classés Crit’Air 0 (véhicules 100 % électriques et véhicules à hydrogène) sont autorisés à emprunter la voie. (Les véhicules hybrides sont généralement classés Crit’Air 1.)
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Actuellement, le fichier des cartes grises permettant de différencier les véhicules électriques par le système infrarouge est en cours d’incorporation. C’est pourquoi vous avez été identifié. Avec votre véhicule électrique, vous étiez sur la bonne voie. Il n’y a aucune inquiétude à avoir.
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Oui. Le radar est capable de détecter les passagers installés à l’arrière dans un siège enfant s’il est face à la route. En configuration dos à la route il est possible que le radar ne le détecte pas. Mais les radars sont basés sur une technologie d’auto-apprentissage, ce qui signifie que leur efficacité va s’améliorer au cours du temps.
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Non. Quand la voie est activée, les poids lourds doivent rester sur la voie la plus à droite et ont interdiction de dépasser. Cette interdiction est indiquée sur les panneaux de signalisation dynamique au-dessus des voies.
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Quel que soit l’état de la circulation, les poids lourds ont interdiction de dépasser au niveau du nœud autoroutier de Dourges. De ce fait, quand la circulation est fluide après le nœud autoroutier, le panneau fin d’interdiction de dépasser s’affiche pour à nouveau permettre aux poids lourds de dépasser. Si la voie réservée est active, l’interdiction de dépasser pour les poids lourds est maintenue.
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Oui, en fonction de la circulation. La voie s’active lorsque la vitesse réglementaire descend à 70 km/h.
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Elle ne s’active que lorsque la circulation se densifie et que la vitesse réglementaire descend à 70 km/h. En cas d’accident, la voie est désactivée.
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Moins de véhicules = moins de pollution. De plus cela amorce la transition avec des déplacements moins tributaires de la voitures et des hydrocarbures.
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Vous pouvez donnez votre avis en répondant au formulaire ici : a1voiereservee.fr
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Fin 2024 au plus tôt.
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Des réflexions seront menées à l’issue de l’expérimentation.
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Cette initiative vise à fluidifier le trafic, réduire la pollution, et encourager le covoiturage, le tout dans une perspective de développement durable.
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À vérifier les effets de la mise en place d’une voie de covoiturage, pour en tirer des enseignements et déployer ce système dans la région.
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Globalement, le constat par comparaison avec d’autres jours similaires de l’année ne montre pas d’aggravation de la congestion, la circulation certain jour étant même plus fluide. Il est à noter que pendant les 5 premières semaines d’activation, il y a eu 10 jours où la voie a été désactivée en raison d’un accident qui rendait inopérante l’activation. Inutile de dire que ces jours, la circulation a été plus difficile que d’ordinaire.
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